Il suffit de se promener dans les rues principales de la plupart des villes du Canada pour constater que notre population est composée d’un ensemble de personnes très diverses, dont la diversité peut être définie par de nombreux éléments, y compris la langue. Au-delà du français et de l’anglais, les deux langues officielles du Canada, il y a de nombreuses personnes dont la langue maternelle n’est ni l’une ni l’autre. Notre centre national d’information et d’orientation reçoit souvent des demandes de renseignements de la part d’enfants adultes dont les parents n’ont pas l’anglais comme langue maternelle. « Mon père est atteint de la maladie de Parkinson et votre fiche d’information sur les médicaments est si bonne, l’avez-vous en italien pour qu’il puisse comprendre ses médicaments ? « Nous voulions répondre à ce besoin d’information et atteindre un plus grand nombre de personnes vivant avec la maladie de Parkinson », explique Barbara Snelgrove, directrice de l’éducation et des services à la Société Parkinson Canada. Nous avons traduit quatre de nos ressources les plus populaires dans les cinq langues les plus courantes, après l’anglais et le français. À ce jour, les informations essentielles pour mieux comprendre la maladie de Parkinson sont disponibles dans d’autres langues pour les documents suivants :

  • 10 étapes pour prendre le contrôle
  • La maladie de Parkinson : Les faits
  • Les médicaments contre la maladie de Parkinson : Ce que vous devez savoir !
  • Évolution de la maladie de Parkinson

Si vous ou quelqu’un que vous connaissez souhaitez bénéficier de ces ressources en allemand, italien, espagnol, chinois et punjabi, veuillez utiliser le lien ci-dessous et télécharger les brochures électroniques. Télécharger les ressources dans d’autres langues. La Société Parkinson Canada est la voix nationale des Canadiens vivant avec la maladie de Parkinson, une maladie neurodégénérative. Par l’intermédiaire de partenaires régionaux et de 240 sections et groupes de soutien, nous assurons l’éducation, le soutien et la défense des intérêts de plus de 100 000 Canadiens vivant avec la maladie de Parkinson chaque jour. Le financement de la recherche innovante permet d’élargir les connaissances sur la prévention, le diagnostic et le traitement de la maladie de Parkinson et, à terme, de trouver un remède.