RechercheObjectifs de la recherche Objectifs de la recherche Focus sur le programme de recherche de Parkinson Canada Le programme de recherche de Parkinson Canada se concentre sur le financement de chercheurs en début de carrière pour les aider à lancer une carrière dans la recherche sur la maladie de Parkinson, sur les bourses cliniques pour améliorer l’accès aux soins en augmentant le nombre de spécialistes qualifiés et sur les idées nouvelles et inédites qui, autrement, n’auraient pas pu voir le jour. Guidé par un processus approfondi d’évaluation par les pairs mené par notre Conseil consultatif scientifique, le programme de recherche investit dans la recherche canadienne innovante menée par des chercheurs établis et prometteurs. Depuis 1981, le programme national de recherche Parkinson Canada a investi plus de 31 millions de dollars dans le financement de projets : Recherche canadienne innovante menée par des chercheurs confirmés et prometteurs. Recherche au stade de la découverte, où les chercheurs testent de nouvelles théories et explorent de nouvelles pistes prometteuses. Des chercheurs en début de carrière afin d’encourager la prochaine génération de scientifiques spécialisés dans la maladie de Parkinson. Une recherche novatrice pour renforcer les capacités, promouvoir la créativité et faire participer davantage de chercheurs. Plus de 600 prix, bourses et subventions qui nous permettent d’en savoir plus sur le diagnostic et le traitement de la maladie de Parkinson. Téléchargez un aperçu du programme de recherche Financement de la recherche Le soutien financier de particuliers, d’entreprises et de fondations rend possible le programme de recherche de Parkinson Canada. Le financement du programme de recherche de Parkinson Canada est assuré par Parkinson Canada, nos partenaires régionaux et nos partenaires de recherche dans tout le pays. Ensemble, les donateurs et les chercheurs s’associent pour alimenter l’innovation en matière de recherche, notamment : Trouver de meilleurs traitements pour en savoir plus sur les causes, l’évolution et les complications de la maladie de Parkinson. Améliorer la qualité de vie des personnes atteintes de la maladie de Parkinson et de leurs familles afin qu’elles puissent vivre pleinement leur vie, malgré les difficultés liées à cette maladie. Ce domaine de recherche couvre une variété de disciplines telles que les soins infirmiers, l’ergothérapie, l’orthophonie et le travail social. le renforcement des capacités de la prochaine génération de chercheurs canadiens. Nous finançons également la formation spécialisée des médecins au diagnostic et à la prise en charge de la maladie et d’autres troubles du mouvement, afin qu’il y ait davantage de spécialistes de la maladie de Parkinson pour fournir des soins de haute qualité. Contribuer à l’échelle internationale à la compréhension collective de cette maladie complexe et à la recherche mondiale d’un traitement. Les investissements continus dans la recherche permettront de faire d’autres découvertes qui changeront des vies et nous rapprocheront d’un monde sans maladie de Parkinson. La recherche sur les troubles connexes, tels que l’atrophie multisystémique (AMS), la paralysie supranucléaire progressive (PSP) et d’autres maladies de Parkinson, est également financée par le programme de recherche de Parkinson Canada. Conseil consultatif scientifique (CCS) Le Conseil consultatif scientifique est un groupe d’experts bénévoles qui examine les demandes de financement afin de déterminer l’excellence scientifique et la pertinence par rapport à la maladie de Parkinson, fournissant ainsi une évaluation objective de la plus haute qualité. Chaque année, le CCS reçoit environ 100 demandes et consacre plus d’un million de dollars à de nouveaux financements, ce qui permet à de nombreuses idées novatrices de voir le jour, mais en laisse d’autres, plus intéressantes, sans financement. La prochaine percée pourrait se trouver dans l’une des demandes non financées. Louis-Éric Trudeau, président – Professeur de pharmacologie, de physiologie et de neurosciences, Université de Montréal ; directeur du groupe de recherche sur la signalisation et les circuits neuronaux (NCS) Silke Appel-Cresswell – Professeur associé de médecine/neurologie, Université de la Colombie-Britannique ; clinicienne scientifique, Centre de recherche sur la maladie de Parkinson du Pacifique et Centre Djavad Mowafghian pour la santé cérébrale Dr. Fang Ba – Professeur associé de neurologie et directeur du programme sur la maladie de Parkinson et les troubles du mouvement, Université de l’Alberta Dr. Robert Chen – Professeur de médecine (neurologie), Université de Toronto ; scientifique principal, Krembil Research Institute Dr Ziv Gan-Or – Professeur agrégé de neurosciences, directeur exécutif de l’unité de recherche clinique et chef du groupe de recherche sur les troubles neurodégénératifs, Institut neurologique de Montréal Étienne Hébert-Chatelain – Professeur agrégé de biologie, Université de Moncton ; Chaire de recherche du Canada en signalisation et physiopathologie mitochondriales Connie Marras – Professeur de neurologie, Université de Toronto ; clinicienne scientifique, Krembil Research Institute Mario Masellis – Professeur de médecine (neurologie), Université de Toronto ; clinicien-chercheur, Sunnybrook Research Institute Caroline Paquette – Professeure agrégée de kinésiologie et d’éducation physique et directrice du laboratoire de contrôle de la locomotion par le cerveau humain (HBCL), Université McGill Jean-François Trempe – Professeur agrégé de pharmacologie et de thérapeutique et chercheur au programme de réparation du cerveau et de neurosciences intégratives (BRaIN), Université McGill Dr. Joel Watts – Professeur associé de biochimie et chercheur principal au Tanz Centre for Research in Neurodegenerative Diseases (Centre de recherche sur les maladies neurodégénératives), Université de Toronto