Informations supplémentaires sur ce cycle de recherche à venir prochainement.

Projets

Scruter les globules rouges pour diagnostiquer la maladie de Parkinson


Hélèna Denis
Candidate au doctorat , Centre Hospitalier de l’Université Laval
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur deux ans
Biomarqueurs

À l’Université Laval, Hélèna Denis, candidate au doctorat, scrute en profondeur les cellules sanguines des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Elle examine le lien entre les protéines associées à la maladie de Parkinson et les petites parties de membrane cellulaire, appelées vésicules extracellulaires, qui peuvent émerger de n’importe quelle cellule. Un jour, ses travaux pourraient permettre d’accélérer le diagnostic, de repérer les stades ou l’évolution de la maladie et de vérifier l’efficacité de nouveaux traitements.

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Mise à profit de la salive


Dr Mervyn Gornitsky
professeur émérite, Université McGill
Bourse pour projet pilote
49 200 $ sur un an
Biomarqueurs

Si les chercheurs pouvaient trouver un outil physiologique non effractif pour diagnostiquer la maladie de Parkinson, il serait sans doute plus facile de commencer le traitement plus tôt. À l’Université McGill, Dr Mervyn Gornitsky croit que c’est exactement ce qu’il a fait – en mesurant la quantité d’une protéine appelée hème oxygénase 1 (HO-1) dans des échantillons de salive de personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Gornitsky, un chirurgien buccal et maxillo-facial, utilise sa biobanque de 4 000 échantillons de salive pour confirmer la capacité du test à déterminer la présence de la maladie de Parkinson chez les personnes qui en sont aux premiers stades de la maladie, avant même l’apparition de tremblements, de raideurs ou d’autres symptômes moteurs.

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Mesure des pupilles pour mesurer la santé du cerveau


Po Yueh (Jeff) Huang
candidat au doctorat, Université Queen’s
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur deux ans
Biomarqueurs

L’un des aspects difficiles de la maladie de Parkinson est l’absence de tests diagnostiques faciles. À l’Université Queen’s, Po Yueh (Jeff) Huang, candidat au doctorat, mesure les mouvements oculaires et la taille des pupilles de personnes en train d’exécuter des tâches cognitives afin d’examiner le lien entre l’œil et les maladies neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson. En établissant une corrélation entre la taille des pupilles et les marqueurs cliniques, il espère mettre au point un ensemble de méthodes non effractives de détection précoce de la maladie de Parkinson et évaluer si des médicaments et d’autres interventions réussissent à traiter les personnes atteintes.

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Trouble du comportement en sommeil paradoxal et maladie de Parkinson


Dre Penny MacDonald
Chaire de recherche du Canada en neurosciences cognitives et neuro-imagerie, Université Western
Pedaling for Parkinson’s en l’honneur de Dr Robert Lorne Alexander
Bourse pour projet pilote
32 984 $ sur un an
Biomarqueurs

La plupart des personnes atteintes d’un trouble du comportement en sommeil paradoxal, qui les incite à mimer leurs rêves, développeront plus tard la maladie de Parkinson ou des affections connexes comme l’atrophie multisystématisée ou la démence à corps de Lewy. À l’Université Western, Dre Penny MacDonald, neurologue et titulaire d’une chaire de recherche du Canada, utilise la technologie d’imagerie pour vérifier s’il y a des changements structurels dans la région du striatum du cerveau des personnes atteintes de ce trouble du sommeil. Si elle trouve ces changements, ils pourraient servir à prédire qui développera la maladie de Parkinson et à amorcer le traitement avant l’apparition des symptômes moteurs.

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Aider les patients atteints de la maladie de Parkinson à faire face aux problèmes que pose leur traitement


Dr Douglas Munoz
Université Queen’s
Financé par Pedaling for Parkinson’s en l’honneur de John Bannister
Bourse pour projet pilote
50 000 $ sur un an
Biomarqueurs

Une évaluation combinée des mouvements oculaires et des facteurs génétiques permettra de jeter un nouvel éclairage sur les problèmes associés aux médicaments auxquels sont exposés les patients atteints de la maladie de Parkinson. Bien que les médicaments visant à stimuler les concentrations de dopamine dans le système nerveux puissent rétablir le contrôle des mouvements chez de nombreux patients, cette forte augmentation de dopamine peut également entraîner des changements cognitifs indésirables, comme un comportement impulsif suivi d’une chute tout aussi brusque et d’une léthargie générale. Une étude élargie visera à trouver des indices pour repérer les personnes à risque d’entrer dans ce cycle.

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Pleins feux sur les protéines


Marisa Cressatti
candidate au doctorat, Université McGill
Financée en partenariat avec
le Fonds de
recherche du Québec-Santé
Bourse d’études supérieures
20 000 $ sur deux ans
Causes

La recherche sur les causes de la maladie de Parkinson porte de plus en plus sur l’interaction entre les protéines dans les cellules du cerveau. À l’Université McGill, Marisa Cressatti, candidate au doctorat, examine l’interaction entre deux protéines, l’alpha-synucléine et l’hème oxygénase 1 (HO-1). Si elle découvre que la protéine HO-1 peut accélérer la propagation et l’accumulation d’alpha-synucléine (la protéine qui forme des agrégats dans les cellules cérébrales des personnes atteintes de la maladie de Parkinson), les chercheurs pourraient cibler la protéine HO-1 dans le cadre d’un nouveau traitement médicamenteux ou d’une nouvelle thérapie génique.

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Démasquer les responsables moléculaires de la maladie de Parkinson


Mohamed Eldeeb
Université McGill
Bourse de recherche fondamentale
100 000 $ sur deux ans
Causes

Mohamed Eldeeb, chercheur à l’Université McGill, est à la recherche des molécules qui régulent un gène crucial associé à l’apparition de la maladie de Parkinson. À l’aide de l’approche d’édition génétique avancée appelée CRISPR, il entend repérer les agents particuliers qui mettent en péril les cellules du cerveau, de sorte qu’elles ne produisent plus la dopamine nécessaire pour contrôler les mouvements musculaires du corps. Il espère ainsi découvrir quelles molécules constitueraient les meilleures cibles thérapeutiques pour prévenir cette perte fonctionnelle.

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Une habitude de sommeil comme indice de la maladie de Parkinson


Dr Ziv Gan-Or
professeur adjoint, Université McGill
Financé en partenariat avec Pedaling for Parkinson’s en l’honneur de Dr John Newall
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur deux ans
Causes

Les personnes atteintes d’un trouble du sommeil particulier sont beaucoup plus susceptibles de développer la maladie de Parkinson, un lien qui a fourni une occasion de recherche unique à Dr Ziv Gan-Or, professeur adjoint à l’Université McGill et chercheur à l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal. (new paragraph)Il a recruté plus de 1 000 personnes de partout dans le monde pour une étude visant à examiner les facteurs génétiques qui pourraient établir un lien entre leur état et la neurodégénérescence. L’objectif est de repérer un marqueur génétique qui indiquerait l’apparition précoce de la maladie de Parkinson chez les personnes afin qu’elles puissent être traitées le plus tôt possible.

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L’examen des cellules de mouches des fruits pourrait révéler quel sera le traitement d’avenir de la maladie de Parkinson chez l’humain


Paul Marcogliese
Baylor College of Medicine
Bourse de recherche fondamentale
100 000 $ sur deux ans
Causes

Dans un laboratoire spécialisé du Baylor College of Medicine, l’associé de recherche postdoctorale Paul Marcogliese étudie une défaillance dans plusieurs modèles génétiques de la maladie de Parkinson chez les mouches des fruits. En plus de relever des anomalies génétiques susceptibles d’indiquer les risques qu’une personne développe cette affection, les travaux pourraient suggérer des cibles de traitements médicamenteux susceptibles de corriger ce problème, ce qui pourrait prévenir non seulement la perte de la fonction cellulaire, mais aussi l’apparition de la maladie.

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Autoréactivité des mitochondries chez les patients atteints de MP comme nouveau biomarqueur de la maladie


Diana Matheoud
professeure associée, Université de Montréal
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur deux ans
Causes

Diana Matheoud, chercheuse à l’Université de Montréal, a déterminé que la façon dont les cellules réagissent à l’infection ou au stress est un indicateur potentiel de l’apparition de la maladie de Parkinson. Les mutations génétiques associées à cette affection neurodégénérative affectent également ce processus immunitaire. Plus précisément, les effets s’étendent aux mitochondries, des structures clés au sein des cellules qui fournissent une énergie vitale pour les cellules et qui sont directement compromises par la maladie de Parkinson.

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Aider les cellules à s’aider elles-mêmes et lutter contre la maladie de Parkinson, chemin faisant


Shafqat Rasool
Université McGill
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur deux ans
Causes

Shafqat Rasool, étudiant au doctorat à l’Université McGill, tente de trouver la façon dont PINK1, un gène associé à la maladie de Parkinson, est activé. Il étudie également de petites molécules qui pourraient améliorer le fonctionnement du gène. PINK1 indique aux cellules du corps de retirer les mitochondries endommagées. Lorsque ce gène ne parvient pas à faire son travail, les mitochondries endommagées s’accumulent et s’agglomèrent dans les neurones, ce qui cause la mort de ceux-ci et entraîne la maladie de Parkinson. Shafqat Rasool espère découvrir une cible thérapeutique pour s’attaquer à une cause fondamentale de cette maladie.

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Révéler le vrai visage d’un envahisseur de cellules cérébrales


Maxime Rousseaux
professeur, Université d’Ottawa
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur deux ans
Causes

La protéine alpha-synucléine fraie son chemin dans les cellules qui occupent des parties du cerveau touchées par la maladie de Parkinson et dans les cellules d’autres parties du cerveau qui demeurent saines. Cette observation a amené des chercheurs comme Maxime Rousseaux, de l’Université d’Ottawa, à se demander si la présence de cette protéine est nuisible ou utile. Il a l’intention de résoudre cette question en cherchant quel est le mécanisme qui mène à la toxicité de cette protéine dans ces cellules cérébrales. Le résultat promet de jeter un nouvel éclairage sur le lien entre les mutations génétiques associées à la maladie de Parkinson et le comportement particulier de cette protéine.

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Les protéines qui contribuent à fournir de l’énergie aux cellules pourraient jouer un rôle dans la maladie de Parkinson


Isabella Straub
Université McGill
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur deux ans
Causes

Les mitochondries sont des composants de la plupart des cellules du corps, auxquelles elles fournissent l’énergie nécessaire à leur fonctionnement. Toutefois, le fonctionnement des mitochondries peut être perturbé par des variantes des protéines CHCHD2 et CHCHD10. La maladie de Parkinson survient lorsque cela arrive aux neurones qui produisent de la dopamine. Isabelle Straub, doctorante à l’Université McGill, examine le fonctionnement normal de ces protéines et les moyens moléculaires par lesquels les protéines endommagées causent la défaillance des mitochondries dans les cellules du cerveau.

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À la recherche d’une solution synaptique à la maladie de Parkinson


Dr Hideto Takahashi
professeur adjoint, Université de Montréal
Financé en partenariat avec Pedaling for Parkinson’s en l’honneur de Dr John Newall
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur deux ans
Causes

Dr Hideto Takahashi, chercheur à l’Institut de recherches cliniques de Montréal, a pointé une protéine appelée neurexine comme jouant un rôle clé dans les maladies neurodégénératives. Cet agent est une composante des synapses, les liens vitaux entre les neurones qui permettent à ces cellules cérébrales de communiquer entre elles. La neurexine modère également les agents associés au développement de la maladie de Parkinson et de la maladie d’Alzheimer, ce qui en fait une bonne candidate pour les thérapies à envisager dans le cadre du traitement de ces troubles.

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Recherche sur la nature auto-immune de la maladie de Parkinson


Louis-Eric Trudeau
professeur, Université de Montréal
Financé par le Fonds de recherche Saucier-van Berkom Parkinson Québec avec contributions de Parkinson Terre-Neuve-et-Labrador
Bourse pour projet pilote
49 748 $ sur un an
Causes

À l’Université de Montréal, Professeur Louis-Éric Trudeau étudie les causes précoces possibles de la maladie de Parkinson, au niveau cellulaire. Il étudie la possibilité que la maladie de Parkinson soit une forme de maladie auto-immune causée par l’attaque des terminaisons axoniques dans nos cellules cérébrales par le système immunitaire. Ces extrémités libèrent les messagers chimiques qui communiquent avec d’autres cellules, et les dommages à ces terminaisons peuvent perturber les cellules cérébrales productrices de dopamine qui jouent un rôle clé dans la maladie de Parkinson.

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Prendre soin de la personne dans son intégralité


Dre Sarah Lidstone
Réseau universitaire de santé
Financé par Pedaling for Parkinson’s en l’honneur du Dr Peter George Morse
Bourse de recherche clinique
50 000 $ sur un an
Bourse de recherche clinique

La clinique des troubles du mouvement du Réseau universitaire de santé de Toronto figure parmi les meilleures cliniques au monde en ce qui a trait au traitement de la maladie de Parkinson. Durant son stage, Dre Sarah Lidstone tentera de trouver des façons d’améliorer le traitement des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, notamment en examinant des modèles novateurs de soins en Europe et au Royaume-Uni. Elle espère mettre en place un réseau de professionnels paramédicaux axé sur les patients atteints de la maladie de Parkinson qui traite les patients dans leur intégralité.

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Formation du formateur


Dre Melissa Mackenzie
University College London
Bourse de recherche clinique
50 000 $ sur un an
Bourse de recherche clinique

Après avoir terminé sa résidence en neurologie à Vancouver, Melissa Mackenzie passe une année supplémentaire à titre de monitrice à l’Institut de neurologie de l’University College London, un centre de pointe du traitement de la maladie de Parkinson. Elle s’attend à ce que cette expérience l’aide à améliorer la façon dont elle traite ses patients et à développer l’expertise nécessaire pour enseigner et améliorer les normes cliniques dans tout le domaine.

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Comprendre le rôle du cerveau dans la marche


Dorelle Hinton
candidate au doctorat, Université McGill
Bourse d’études supérieures
20 000 $ sur deux ans
Complications

À l’Université McGill, Dorelle Hinton, étudiante en neurosciences et kinésiologie, utilise la technologie d’imagerie appelée tomographie par émission de positons (TEP) pour examiner le cerveau de personnes atteintes de la maladie de Parkinson qui ont de la difficulté à marcher. Elle tente de découvrir les zones du cerveau qui sont activées lorsque les personnes atteintes de la maladie de Parkinson traînent les pieds, figent sur place ou perdent l’équilibre. Si Dorelle Hinton repère les réseaux cérébraux touchés, ses travaux pourraient aider les chercheurs à mettre à profit des thérapies futures pour corriger la démarche des gens.

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Considérer le potentiel thérapeutique des oméga-3 et de l’exercice


Olivier Kerdiles
Université Laval
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur deux ans
Neuroprotection

Olivier Kerdiles, doctorant à l’Université Laval, étudie la possibilité que l’alimentation et l’exercice puissent prévenir l’apparition de la maladie de Parkinson, réduire la perte de neurones et même inverser d’autres effets négatifs. Il étudie les oméga-3, un groupe d’acides gras reconnus comme bénéfiques pour notre métabolisme et qui pourraient contribuer à la santé des neurones en maintenant leur capacité à produire de la dopamine, un agent vital qui transmet des signaux du cerveau au corps.

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Modulation de l’expression de la protéine Rit2 pour protéger contre la neuropathologie de l’alpha-synucléine


Martin Levesque
professeur agrégé, Université Laval
Bourse pour projet pilote
50 000 $ sur un an
Neuroprotection

La recherche sur le processus responsable de la mort des cellules cérébrales qui produisent de la dopamine, la substance chimique essentielle à un bon contrôle des mouvements, s’est concentrée sur une protéine appelée alpha-synucléine. À l’Université Laval, Professeur Martin Lévesque étudie le lien entre l’alpha-synucléine et une autre protéine appelée Rin. S’il parvient à déterminer une façon d’utiliser la protéine Rin pour réglementer et réduire la quantité d’alpha-synucléine qui s’accumule dans les cellules du cerveau, les chercheurs pourraient stopper ou ralentir l’évolution de la maladie de Parkinson.

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Protéger les cellules cérébrales essentielles contre une trop grande quantité de calcium


George Robertson
professeur, Université Dalhousie
Bourse pour projet pilote
50 000 $ sur un an
Neuroprotection

À l’Université Dalhousie, le neuroscientifique George Robertson étudie le rôle d’une protéine appelée MCU (uniport calcique mitochondrial) dans la maladie de Parkinson. Cette protéine transforme de grandes quantités de calcium en centrales énergétiques dans des cellules appelées mitochondries. George Robertson examine si l’activité excessive de la protéine MCU dans les cas de la maladie de Parkinson tue les cellules du cerveau en permettant à une trop grande quantité de calcium de pénétrer dans les mitochondries. Son travail pourrait jeter les bases d’un médicament capable de freiner l’évolution de cette maladie.

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Aider les personnes atteintes de la maladie de Parkinson à conduire plus longtemps et de façon plus sécuritaire


Liliana Alvarez
professeure adjointe, Université Western
Financée par la Garden Centre Group Co-Op Corp. (GCGCC)
Bourse pour projet pilote
43 065 $ sur un an
Qualité de vie

La cessation de la conduite constitue un coup majeur à l’autonomie des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. À l’Université Western, les professeurs Liliana Alvarez et Jeffrey Holmes mettent à l’essai l’efficacité des systèmes d’avertissement des voitures qui émettent un signal sonore ou provoquent un clignotement des phares quand une voiture est dans l’angle mort du conducteur au moment où il change de voie. S’ils confirment que cette technologie existante peut aider les personnes atteintes de la maladie de Parkinson ou s’ils peuvent modifier les accessoires d’assistance au changement de voie pour les rendre plus efficaces, les recommandations contribueraient à ce que les gens continuent de conduire et restent autonomes plus longtemps.

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