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Projets
Natalina Salmaso
Chaire de recherche du Canada en neurobiologie comportementale, Université Carleton
Bourse pour des projets pilotes « Pedaling for Parkinson’s »
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 1 an
Causes
Natalina Salmaso, chercheuse à l’Université Carleton, applique ses connaissances à l’égard d’une catégorie de cellules du cerveau appelées astrocytes qui n’ont jamais été considérées comme des joueurs importants dans le développement de la maladie de Parkinson. En poussant ces cellules à l’action, elle espère démontrer le rôle qu’elles jouent dans la diminution des effets de la maladie. Ses travaux pourraient tracer la voie vers une stratégie thérapeutique qui fortifie les mécanismes de guérison de l’organisme.
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Martin Parent
Université Laval
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 2 ans
Complications
Martin Parent, professeur agrégé au département de psychiatrie et de neurosciences de l’Université Laval, tente de trouver la cause des dyskinésies, ces mouvements involontaires qui sont des effets secondaires du traitement par lévodopa, à ce jour le meilleur traitement médicamenteux pour lutter contre la maladie de Parkinson. Ses collègues et lui utiliseront une nouvelle technologie d’édition génétique novatrice pour manipuler la fonction d’un gène précis qu’ils considèrent comme étant l’une des causes principales de ce problème.
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Caroline Lafrechoux
Université Laval
Financée par la Fondation de bienfaisance Lanka
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur 2 ans
Complications
À l’Université Laval, l’étudiante de maîtrise Caroline Lafrechoux tente de comprendre comment guider les axones, ou les connecteurs, entre les cellules transplantées dans la région du cerveau où les cellules dopaminergiques meurent. Si elle réussit à trouver un moyen d’orienter les axones vers les bons endroits à l’intérieur du cerveau, elle améliorera les possibilités de recourir à la transplantation de cellules du cerveau pour remplacer les cellules endommagées et mourantes qui causent la maladie de Parkinson.
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Dre Susan Fox, professeure
Directrice associés, Clinique des troubles du mouvement, Hôpital Toronto Western
, Université de Toronto
Subvention pour des projets pilotes Garden Centre Group Co-op Corp.
Subvention pour des projets pilotes
44 925 $ sur 1 an
Complications
La légalisation de la marijuana étant imminente, de nombreuses personnes demandent à leur médecin si les cannabinoïdes, dont les bienfaits sont souvent vantés, pourraient les aider. À l’Université de Toronto, Dre Susan Fox mène une petite étude pilote pour déterminer si l’application d’huile de cannabis permet de soulager les douleurs parfois aiguës et brûlantes dont les personnes atteintes de Parkinson souffrent.
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Anita Abeyeskera
doctorante, Université Western
Bourse d’études supérieures Porridge for Parkinson’s (Toronto)
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur 2 ans
Complications
Anita Abeyesekera, doctorante de l’Université Western, applique son expérience en orthophonie et en sciences de la parole pour approcher d’une nouvelle façon l’étude de l’hypophonie, une diminution de la voix souvent caractéristique de la maladie de Parkinson. Elle tente de comprendre pourquoi les gens ont l’impression que leur voix est plus forte qu’elle ne l’est en réalité, une observation qui soulève des questions sur la façon dont cette maladie touche le traitement sensoriel dans le cerveau.
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Dre. Melanie Tremblay
boursière postdoctorale, Université de Toronto
Bourse de recherche fondamentale « Pedaling for Parkinson’s »
Bourse de recherche fondamentale
80 000 $ sur 2 ans
Déficience cognitive
Les nouveaux médicaments utilisés pour traiter la maladie de Parkinson peuvent avoir du bon pour les personnes qui ne réagissent plus à la lévodopa, le médicament le plus souvent prescrit pour cette maladie. Cette nouvelle catégorie de médicaments peut cependant causer l’impulsivité, un effet secondaire pouvant entraîner le jeu excessif ou d’autres problèmes néfastes. À l’Université de la Colombie-Britannique, Mélanie Tremblay examine les mécanismes sous-jacents du cerveau qui rendent les gens vulnérables à cet effet secondaire, afin de déterminer si les chercheurs pourraient remédier à la situation ou mettre au point un autre médicament pour traiter le problème.
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Dr Stefan Lang
Doctorant, Université de Calgary
Financée par la Fondation de bienfaisance Lanka
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur 2 ans
Déficience cognitive
À l’Université de Calgary, Stefan Lang, résident en neurochirurgie et doctorant, utilise la stimulation magnétique transcrânienne pour envoyer des rafales d’impulsions électriques visant à stimuler le lobe frontal du cerveau chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson qui souffrent d’une légère déficience cognitive. Lang espère que cette technique non effractive stimulera la plasticité du cerveau, ce qui lui permettra de rebrancher les réseaux associés au jugement, à la mémoire et à la prise de décisions.
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Dr Anish Kanungo, boursier en clinique
Neurologie des troubles du mouvement, Université du Manitoba
Financée par la Société Parkinson Colombie-Britannique
Bourse de recherche clinique sur les troubles du mouvement
50 000 $ sur 1 an
Bourse de recherche clinique
Le bon sens commun suggère que le traitement des personnes atteintes de la maladie de Parkinson dans une clinique de troubles du mouvement dotée d’une équipe interdisciplinaire permettra d’obtenir de meilleurs résultats cliniques et de réduire les coûts. À la clinique des troubles du mouvement de l’Office régional de la santé de Winnipeg, Dr Anish Kanungo, neurologue et boursier clinicien, étudiera les données pour déterminer s’il y a amélioration des résultats cliniques et réduction des hospitalisations et des admissions en soins de longue durée chez les personnes traitées à la clinique.
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Simon Wing
professeur, Université McGill
Subvention pour le projet pilote Porridge for Parkinson’s (Toronto)
Subvention pour projet pilote
45 000 $ sur 2 ans
Causes
Un gène précédemment associé à l’atrophie musculaire a récemment été identifié comme possible joueur clé dans le processus de propagation de la maladie de Parkinson dans le cerveau. Simon Wing, professeur au département de l’endocrinologie et du métabolisme de l’Université McGill, étudie l’utilité possible de ce gène comme cible critique pour les thérapies visant à traiter la progression de la maladie en stoppant tout simplement sa propagation.
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Dre. Ying Wang
Université McGill
Bourse de recherche fondamentale
100 000 $ sur 2 ans
Causes
À l’aide de souris génétiquement modifiées conçues à cette fin, la chercheure postdoctorale de l’Université McGill Ying Wang démontre quel type de déclin de la fonction des cellules nerveuses lié à l’âge pourrait causer la maladie de Parkinson. En induisant la maladie de Parkinson, puis en utilisant un médicament pour inverser la maladie dans son modèle de souris, elle espère découvrir si et dans quelle mesure les cellules nerveuses endommagées peuvent retrouver leur fonction perdue et se rétablir.
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Jean-François Trempe
Université McGill
Financée par Peter Cipriano
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 2 ans
Causes
Jean-François Trempe, professeur adjoint au département de pharmacologie et de thérapeutique de l’Université McGill, examine un gène qui a pour rôle d’évaluer la santé des cellules et de lancer un signal lorsqu’il est temps d’éliminer celles qui sont malades. Ce mécanisme de régulation semble être faussé chez les cellules touchées par la maladie de Parkinson. S’il était possible de stabiliser le comportement de ce gène, le système intégré des cellules cérébrales qui leur permet de se maintenir en santé pourrait être rétabli.
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Frédérique Larroquette
Doctorante, Université McGill
Financé par le Fonds québécois de recherche sur le Parkinson
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur 2 ans
Causes
Frédérique Larroquette, doctorante à l’Université McGill, réalise des travaux de recherche fondamentale pour déterminer pourquoi seules les cellules dopaminergiques sont vulnérables aux facteurs de stress responsables de la maladie de Parkinson. Larroquette transforme les cellules souches en cellules dopaminergiques afin d’étudier les trois pièces du casse-tête reconnues comme jouant un rôle dans le développement de la maladie : les amas d’une protéine appelée alpha-synucléine, les mitochondries dysfonctionnelles au sein des cellules et les neurones défectueux.
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Dre Lorraine Kalia
professeure adjointe et clinicienne-chercheuse, Université de Toronto
Bourse pour nouveaux chercheurs Pedaling for Parkinson’s
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur 2 ans
Causes
À l’Université de Toronto, Dre Lorraine Kalia, neurologue et neuroscientique, tente de comprendre le rôle qu’une protéine appelée alpha-synucléine joue dans un type familial de maladie de Parkinson causé par une mutation du gène LRRK2. Bien que les gros amas d’alpha-synucléines soient considérés comme responsables de la mort des cellules dopaminergiques, Dre Kalia examine de plus petits gisements de la protéine pour vérifier si leurs mauvais comportements contribuent à la mort de cellules du cerveau et aux symptômes des patients.
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Dr. Philippe Huot
Professeur adjoint, Université McGill
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 1 an
Causes
À l’Université McGill, Dr Philippe Huot, professeur adjoint, met au point un modèle expérimental de la maladie de Parkinson qui permettra aux chercheurs d’examiner les changements moléculaires qui se produisent dans les cellules du cerveau. Dr Huot et son équipe mettront l’accent sur l’alpha-synucléine, une protéine essentielle qui, lorsqu’elle est mal formée, l’empêche de fonctionner correctement, ce qui entraîne des amas ou agrégats dans les cellules dopaminergiques et mène à leur mort.
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Jordan Follett
Boursier postdoctoral, Université de la Colombie-Britannique
Financée par la Société Parkinson Colombie-Britannique
Bourse de recherche fondamentale
80 000 $ sur 2 ans
Causes
À l’Université de la Colombie-Britannique, le neuroscientifique Jordan Follett étudie le rôle du complexe rétromère, un réseau de triage au sein des cellules du cerveau capables de positionner des protéines de liaison à l’ARN dans les cellules. Selon la théorie de travail de Follett, si des gènes à l’intérieur du complexe rétromère sont mutés, ils pourraient mal positionner l’ARN à l’intérieur des cellules dopaminergiques, ce qui entraînerait leur mort. Si sa théorie est validée, cela pourrait ouvrir de nouvelles avenues à la découverte de médicaments.
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Dr. Thomas Durcan
Professeur adjoint, Institut et hôpital neurologiques de Montréal, Université McGill
Bourse pour nouveaux chercheurs « Pedaling for Parkinson’s »
Bourse pour nouveaux chercheurs
90 000 $ sur 2 ans
Causes
À l’Institut neurologique de Montréal, le neuroscientifique Thomas Durcan étudie les mécanismes du cerveau humain qui peuvent être utilisés pour protéger celui-ci contre les effets de la maladie de Parkinson. Ses travaux mettent l’accent sur une protéine du nom de Parkin, qui élimine les éléments endommagés des cellules, ainsi que sur une enzyme partenaire qui semble orienter les activités de cette protéine. Il suggère que cette enzyme pourrait s’avérer une cible pour de nouveaux médicaments ou d’autres thérapies susceptibles d’améliorer la capacité de la protéine Parkin à offrir une protection contre les effets de la maladie de Parkinson.
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Frédéric Calon
Professeur , Université Laval
Financé par le Fonds québécois de recherche sur le Parkinson
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 1 an
Causes
À l’Université Laval, le professeur Frédéric Calon, biochimiste et pharmacien, applique de nouvelles découvertes sur la génétique et les causes moléculaires de la maladie de Parkinson à une étude plus approfondie de la zone du cerveau appelée substance noire. En comparant les observations médicales avec des échantillons de cerveau de personnes ayant reçu un diagnostic de maladie de Parkinson avant leur décès, Calon espère faire la lumière sur les différents sous-types de la maladie de Parkinson et établir des liens entre les symptômes et les différences observées dans la substance noire.
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Antonio Strafella
Professeur, Réseau universitaire de santé (Université de Toronto)
Projet Pilote
45 000 $ sur 1 an
Biomarqueurs
À l’Université de Toronto, Dr Antonio Strafella effectue des études d’imagerie sur le cerveau de personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Il utilise un nouveau traceur, ou substance chimique, capable de mettre en évidence les changements au sein du cerveau qui apparaissent dans les examens de tomographie par émission de positons (TEP). Strafella examine la densité des synapses, ou connexions, dans les cellules du cerveau pour déterminer si une diminution de cette densité, mesurée au fil du temps, pourrait servir d’outil non effractif pour diagnostiquer la maladie de Parkinson ou distinguer les divers types de maladie.
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Dr Michael Schlossmacher
Professeur, Université d’Ottawa/Hôpital d’Ottawa
Subvention pour des projets pilotes
45 000 $ sur 1 an
Biomarqueurs
À l’Université d’Ottawa, Dr Michael Schlossmacher et ses collègues ont créé un modèle mathématique pour permettre aux médecins de prévoir qui développera la maladie de Parkinson et à quelle étape de sa vie. En cas de réussite, ce modèle prédictif améliorera le diagnostic et le traitement de la maladie lorsque d’autres chercheurs auront mis au point des thérapies visant à ralentir l’évolution de la maladie de Parkinson.
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Cricia Rinchon, étudiante diplômée
Institut de recherche Krembil, Réseau universitaire de santé
Bourse d’études supérieures Porridge for Parkinson’s (Toronto) en l’honneur de Delphine Martin
Bourse d’études supérieures
30 000 $ sur 2 ans
Biomarqueurs
Utilisant deux techniques pour stimuler électriquement des parties du cerveau, Cricia Rinchon tente de découvrir si, une fois stimulées, les cellules qui forment un réseau dans le cerveau travailleront de pair pour réparer les dégâts causés par la maladie de Parkinson.
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Dr Michele Matarazzo
Université de la Colombie-Britannique
Financée par Parkinson Colombie-Britannique
Bourse de recherche clinique
100 000 $ sur 2 ans
Biomarqueurs
Michele Matarazzo, neurologue au Centre de recherche du Pacifique sur la maladie de Parkinson de l’Université de la Colombie-Britannique, compile une base de données sur les examens d’imagerie cérébrale pour montrer l’évolution de la maladie de Parkinson chez les patients sur une période de plusieurs années. Cette information, fournie par un type d’imagerie appelée tomographie par émission de positons, devrait montrer des modèles de développement de la maladie qui jettent un nouvel éclairage sur la nature de cette affection.
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Dr Johannes Frasnelli
Professeur, Université du Québec à Trois-Rivières
Subvention pour des projets pilotes
40 000 $ sur 1 an
Biomarqueurs
À l’Université du Québec à Trois-Rivières, Dr Johannes Frasnelli étudie un système sensoriel que la plupart des gens ignorent avoir. Il fait des recherches sur le système chimiosensoriel trigéminal, qui nous permet de percevoir les sensations de piquant, de fraîcheur et de brûlure, pour déterminer si ce système demeure intact chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson lorsqu’elles perdent l’odorat. Si tel est le cas, il pourrait devenir un outil important pour détecter les personnes susceptibles de développer la maladie de Parkinson.
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Pierre-Alexandre Bourgouin
Doctorant , Université du Québec à Montréal
Bourse d’études supérieures du FRQS en partenariat avec Parkinson Canada
Bourse d’études supérieures
35 000 $ sur 2 ans
Biomarqueurs
À l’Université du Québec à Montréal, Pierre-Alexandre Bourgouin, candidat au doctorat, examine le lien entre la maladie de Parkinson et un trouble du sommeil appelé trouble comportemental en sommeil paradoxal idiopathique.
Neuropsychologue, Bourgouin utilise une technologie d’imagerie pour découvrir des changements dans la matière blanche du cerveau des personnes atteintes de ce trouble, ce qui peut les amener à être violents pendant le sommeil paradoxal. Puisque 80 % de ces personnes développeront la maladie de Parkinson, il espère découvrir des différences dans la matière blanche de leur cerveau — les liens entre les cellules. Ces différences pourraient donner des indices sur le développement de la maladie de Parkinson.
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