Informations supplémentaires sur ce cycle de recherche à venir prochainement.
Projets
Dre Kaylena Ehgoetz Martens
Professeure agrégée, Université de Waterloo
Bourse pour nouveau chercheur
90 000$ sur 2 ans
À l’Université de Waterloo, Kaylena Ehgoetz Martens, professeure agrégée, étudie le rôle que joue l’anxiété dans le blocage de la démarche. Jusqu’à 80 % des personnes atteintes de la maladie de Parkinson connaîtront éventuellement cet état incapacitant. À l’aide d’interfaces de réalité virtuelle et de scénarios, la professeure Ehgoetz Martens mesure les réponses physiologiques des personnes dans des situations qui déclenchent le blocage, ainsi que leur anxiété primaire, afin d’évaluer son rôle dans le blocage de la démarche. Ultimement, elle espère trouver des traitements et des technologies pour interrompre ou pour prévenir ce symptôme.
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Julia Obergasteiger
titulaire d’une bourse de recherche postdoctorale, Université Laval
Bourse de recherche fondamentale
80 000 $ sur 2 ans
Neuroprotection
Julie Obergasteiger, titulaire d’une bourse de recherche postdoctorale à l’Université Laval, étudie un gène qui pourrait jouer un rôle pour empêcher la mort des cellules cérébrales en contexte de maladie de Parkinson. Si madame Obergasteiger parvient à confirmer le rôle d’un gène appelé Flcn dans la régulation de l’élimination du matériel endommagé ou indésirable par les cellules, ses travaux pourraient révéler une nouvelle cible pour des médicaments ou d’autres traitements visant à protéger les cellules du cerveau qui produisent de la dopamine. La dopamine est le messager chimique clé qui est manquant dans la maladie de Parkinson.
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Johannes Frasnelli
Professeur, Université de Québec á Trois-Rivières
Programme de projet pilote
45 000 $ sur 1 ans
Biomarqueurs
Les personnes qui perdent le sens de l’odorat, mais pas non la capacité de percevoir les arômes épicés ou frais, sont fortement susceptibles de développer la maladie de Parkinson. À l’Université du Québec à Trois-Rivières, le professeur Johannes Frasnelli fait appel à l’imagerie par résonance magnétique (IRM) pour étudier l’activité cérébrale, ainsi que la connectivité et la structure de régions précises du cerveau. En déterminant comment la maladie de Parkinson affecte la façon dont le cerveau traite les odeurs, il espère tracer la voie vers des outils de dépistage précoce de la maladie de Parkinson.
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Erind Alushaj
Étudiant au doctorat, Université Western
Bourse d’études supérieures
20 000$ sur 2 ans
Biomarqueurs
Les personnes atteintes d’un trouble affectant leurs cycles de sommeil paradoxal présentent un risque élevé de développer la maladie de Parkinson. À l’Université Western, Erind Alushaj, étudiant au doctorat, fait appel à l’imagerie par résonance magnétique pour examiner les taux de fer et les connexions structurelles des personnes atteintes d’un trouble du comportement en sommeil paradoxal. S’il est en mesure de détecter des profils similaires chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson et chez les personnes atteintes de ce trouble du sommeil, ces images pourraient aider à poser un diagnostic de maladie de Parkinson avant qu’elle ne cause des dommages irréversibles aux cellules cérébrales.
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Marcelo da Silva Vieira
Étudiant au doctorat, Université McGill
Bourses d’études supérieures
20 000$ sur 2 ans
À l’Université McGill, Marcelo da Silva Vieira, étudiant au doctorat, étudie la capacité des personnes atteintes de la maladie de Parkinson à interpréter des sons flous et à ajuster le ton et l’intensité de leur voix. Il fait appel à l’imagerie cérébrale afin de mettre en corrélation les dommages cérébraux et ces difficultés d’élocution. Ses découvertes pourraient aboutir sur de meilleures thérapies de la parole et du langage.
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Raphaella W.L. So
Étudiante au doctorat, Université de Toronto
Bourse d’études supérieures
20 000$ sur 2 ans
Causes
À l’Université de Toronto, l’étudiante au doctorat Raphaella So analyse le rôle joué par la protéine prion cellulaire dans la maladie de Parkinson. Elle s’intéresse à la façon dont la protéine interagit avec l’alpha-synucléine, une autre protéine clé impliquée dans la mort des cellules cérébrales productrices de dopamine, dont la perte provoque la maladie de Parkinson.
La compréhension du rôle de la protéine prion cellulaire pourrait éventuellement permettre de repérer une autre cible pour un médicament visant à arrêter ou à ralentir l’évolution de la maladie.
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Dr Deepa Dash
Titulaire d’une bourse de recherche clinique, L'Hôpital d’Ottawa
Financée par Parkinson Society British Columbia
Bourse de recherche clinique
100 000$ sur 2 ans
Bourse de recherche clinique
Comme la maladie de Parkinson est chronique et évolutive, les personnes qui en sont atteintes doivent gérer leurs soins, qui comportent des visites chez le neurologue et chez d’autres spécialistes. Dans le cadre de sa bourse de recherche clinique à l’hôpital d’Ottawa, la docteure Deepa Dash se consacre à l’évaluation de l’incidence d’un réseau intégré de traitement pour les personnes aux stades intermédiaires de la maladie de Parkinson. Ce réseau, géré par une infirmière ou un infirmier spécialiste, établira le lien entre les personnes et les ressources communautaires qui les aideront à remédier aux symptômes qui les préoccupent le plus, dans l’espoir d’améliorer leur qualité de vie globale.
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Dre Silke Appel-Cresswell
Professeure agrégée, Université de la Colombie-Britannique
Financée par Parkinson Society British Columbia
Subventions pour project pilote
50 000$ sur 1 ans
Des milliards de bactéries, de champignons et de virus vivent à l’intérieur de notre intestin, ou tractus digestif. À l’université de la Colombie-Britannique, la docteure Silke Appel-Cresswell, neurologue et professeure agrégée, étudie les souches de bactéries présentes dans l’intestin des personnes atteintes de la maladie de Parkinson. Ces souches diffèrent de celles qui sont présentes chez les personnes qui n’en sont pas atteintes. Elle espère ouvrir la voie vers de nouveaux traitements en déterminant quelles bactéries sont présentes et quel est leur rôle, comme le déclenchement de l’inflammation. Ses travaux approfondiront notre compréhension de l’origine possible de la maladie dans l’intestin pour de nombreuses personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
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Dre Paulina Gonzalez Latapi
Titulaire d’une bourse de recherche clinique, University Health Network
Bourse de recherché Clinique sur les troubles du mouvement
50 000$ sur 1 ans
La compréhension du fonctionnement de la maladie de Parkinson au niveau de l’ADN et des gènes pourrait fournir aux chercheurs d’importants renseignements au sujet des traitements possibles. Pendant sa recherche clinique à la Clinique des troubles du mouvement de l’Université Health Network de Toronto, la docteure Paulina Gonzalez-Latapi étudie également la méthylation de l’ADN, un processus qui modifie l’activité de certains gènes, chez des personnes atteintes de la forme héréditaire de la maladie de Parkinson. Madame Gonzalez-Latapi fera appel à un modèle statistique pour établir la relation entre ces modifications de l’ADN et les effets cognitifs et moteurs observés chez les patients au fil du temps.
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Dr Matthew Krause
Associé de recherche, Université McGill
Financée par Parkinson Society British Columbia
Subventions pour project pilote
50 000$ sur 1 ans
La stimulation cérébrale profonde est un traitement de la maladie de Parkinson efficace, mais invasif qui nécessite l’implantation d’électrodes profondément dans le cerveau. À l’Université McGill, Matthew Krause, associé de recherche, étudie la stimulation électrique transcrânienne. Cette technologie transmet des impulsions électriques au cerveau de manière non invasive. Si la méthode étudiée par monsieur Krause visant à transmettre une stimulation électrique transcrânienne s’avère efficace, de nombreuses autres personnes atteintes de la maladie de Parkinson pourraient bénéficier de ce traitement.
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